Wednesday, 16 April 2014

L’IGNORANCE AU SERVICE DE LA MALADIE


Il y avait dans un village un jeune tellememnt gentil, qui s’appelait Kasongo, marié et  père d’une nombreuse  famille.
Un soir  pendant qu’ils  étaient  autour du feu avec  son père,ses  deux jeunes frères et leurs enfants, il senti  que sa réspiration  étouffait, son corps se fatiguait, et il commençait à  voir   flou.










 
Ainsi  partit-il  dormir, au lieu  de se reveiller en bonne santé, une toux l’accompmagna,a cela s’ajouta le manque d’appetit,l’ammaigrissement, les transpirations nocturnes, la fièvre tôt le matin, et chaque jour qui passait le jeune homme devenait  de plus en  plus  asthénique.
Soucieux, son jeune frère alerta le chef de famille qui à son tour convoqua une reunion de famille  en urgence.
Telles les mouches entourant une viande  faisandée, les frères de kasongo s'assemblerent sous le manguier pour chercher d’où  venait cette malediction qui frappait leur  frère .





 
Ils taillerent la bavette autour  de la maladie cherchant le sorcier et leurs demarches n’acoucherent qu’une souris.
Ils  deciderent d’appeler  un guerrisseur  qui  tenta  avec incantations  et potions pendant une semaine, c’etait  comme  s’il  versait de l’eau  sur le dos du canard, la maladie ne senti pas sa présence.





 

Le second arriva, il tenta par des chansons, potions et incatations la maladie ne lui obeit pas,ils se succederent  jusqu’au  dixieme, qui dansa, sauta , cria et appella  mȇme   ses ancȇtres, la maladie n’obeit pas non plus.





 

Et  lorsque Kasongo qui parlait, qui riait, qui bougeait ne resta vivant que  par la montée et descente de son ventre, la famille  decida de l’amener chez le médecin.
Pas d’ambulance, pas de moto, pas aussi un velo, juste au coin de  la chambre  de Kasongo reposait un filet de chasse sale, les frères du patient le mirent dedans et commencerent une longue marche qui dura  quatre heure.
Arrivée à l’hopital de Kipushya, le docteur ecouta un bruit semblable  au mugissement   et  sortant de son bureau, il apercu un patient qui n’avait  que la chaire aux os, il demanda   à ceux qui le transportaient  de l’amener   en sale d’urgences, arrivée là,  le mourant ne donna peu de chance qu’au laboratin et radiologue de prendre chacun en ce qui  le  concerne   les  echantillons.











 
Trente   minutes plus tard il  dit  ses   derniers   mots à son fils ainé et, pendant qu’il lui parlait ses sept soeurs chercherent de pagnes   et  se couvrirent pensant  que le soufle de vie devait ȇtre arreté par leur barrière, a leur ainsi le soufle  parti et Kasongo se  coucha avec ses  Aieux.


 
Les frères de l’illustre disparu ramenèrent   le corps jusqu’au village ,firent deuil sur lui, et remirent la terre à la terre.





 
Après   toutes les ceremonies de deuil, le chef de famille  parti chercher  le certificat de decès, c’est alors que le docteur de l’hopital général de kipushya  lui dit que son frère etait décedé de la tuberculose, une maladie  guerrissable  par les  molécules  qu’on  donne gratuitement.

 

No comments:

Post a Comment