Tuesday, 8 April 2014

LA PEUR TUE


 



 

La peur tue  cinq fois plus rapidement  que  l’epée, laissez moi vous  le demontrer dans ce recit.

Le chef Kilolo de la tribu de bena nkoto, un   matin  discutant avec les jeunes gens leur dit que la peur tue, la peur desherite, la peur rend pauvre.

Pour demontrer la véracité de cette  evidence le chef appela son intendant et lui demanda d’appreter Kabombodima pour une exécution publique.

Un message fut envoyé dans tout le village de cette chefferie appellant la population à assister au dernier jour du malhonnete, brigand, auteur de beaucoup de douleur dans la tribu.

Le moment venu, la population se reuni à la place de l’exécution appelée<< Manguier des ésprits>>, par la population locale car pensant que les esprits de toutes les personnes exécutées y residaient.
 

Prennant la parole le chef presenta  brievement le gangster et demanda à ce dernier de parler au public  afin de leur dire pourqoui l’on devait le tuer et dire à dieu a cette population meurtrie.

Kabombodima pleurant et tremblant parla en ce mot que cette date soit écrite dans les annales de l’histoire, on enseignera cela de génération en génération , je vais dans les minutes qui suivent mourir, c’est le prix de ma vie qui etait mauvaise, qu’aucun enfant ne suive ce mauvais chemin.

Pesonne ne me  hais, plutôt je moissonne aujourd’hui ce que j’avais sémé, que mon sang retombe sur moi et non sur une autre personne.
Si j’avais écouter les paroles que m’adressaient mes parents autour du feu matinal et vesperal, je serais l’homme le plus heureux de la planète.
 
Et il n’avait pas encore terminé, le chef presenta six gaillards qui étaient charge de l’exécution tous portant de cagoules au visage, l’on amena une casserole pour receuillir le sang de Kabombodima,une epée qui servirait à l’egorger puis après que ce dernier eut vu et l’equipe, et l’equipement, le chef demanda qu’on liasse ses mains et ses pieds et qu’on mis une cagoule sur sa face.









Apres cela, la cloche sonna et un gaillard mis l’epée sur le cou du gangster sans oser couper, puis un autre debuta à verser de l’eau dans la casserole,et le brigand apercevant l'eau tomber, il pensa que c'etait son sang et cria d’une voix forte: ô mon sang, ô mon sang, ô mon sang, puis tremblota quelques minutes et expira.

Le chef demanda au jeune de venir inspecter le corps du defunt pour chercher  une plaie ou une  contusion ,personne ne trouva même pas une ecorchure.
Et toute l'assistance admit sans equivoque que la peur tuait plus vite que l'epee.

 

 

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