La peur tue cinq fois
plus rapidement que l’epée, laissez moi vous le demontrer dans ce recit.
Le chef Kilolo de la tribu de bena nkoto, un matin
discutant avec les jeunes gens leur dit que la peur tue, la peur
desherite, la peur rend pauvre.
Pour demontrer la véracité de cette evidence le chef appela son intendant et lui
demanda d’appreter Kabombodima pour une exécution publique.
Un message fut envoyé dans tout le village de cette
chefferie appellant la population à assister au dernier jour du malhonnete,
brigand, auteur de beaucoup de douleur dans la tribu.
Le moment venu, la population se reuni à la place de l’exécution
appelée<< Manguier des ésprits>>, par la
population locale car pensant que les esprits de toutes les personnes exécutées
y residaient.
Prennant la parole le chef presenta brievement le gangster et demanda à ce dernier
de parler au public afin de leur dire
pourqoui l’on devait le tuer et dire à dieu a cette population meurtrie.
Kabombodima pleurant et tremblant parla en ce mot que cette date
soit écrite dans les annales de l’histoire, on enseignera cela de génération en
génération , je vais dans les minutes qui suivent mourir, c’est le prix de ma
vie qui etait mauvaise, qu’aucun enfant ne suive ce mauvais chemin.
Pesonne ne me hais,
plutôt je moissonne aujourd’hui ce que j’avais sémé, que mon sang retombe sur
moi et non sur une autre personne.
Si j’avais écouter les paroles que m’adressaient mes parents
autour du feu matinal et vesperal, je serais l’homme le plus heureux de la planète.
Et il n’avait pas encore terminé, le chef presenta six
gaillards qui étaient charge de l’exécution tous portant de cagoules au visage,
l’on amena une casserole pour receuillir le sang de Kabombodima,une epée qui
servirait à l’egorger puis après que ce dernier eut vu et l’equipe, et
l’equipement, le chef demanda qu’on liasse ses mains et ses pieds et qu’on mis
une cagoule sur sa face.
Apres cela, la cloche sonna et un gaillard mis l’epée sur le
cou du gangster sans oser couper, puis un autre debuta à verser de l’eau dans
la casserole,et le brigand apercevant l'eau tomber, il pensa que c'etait son sang et cria d’une voix forte: ô mon sang, ô mon sang, ô
mon sang, puis tremblota quelques minutes et expira.
Le chef demanda au jeune de venir inspecter le corps du defunt pour
chercher une plaie ou une contusion ,personne ne trouva même pas une
ecorchure.
Et toute l'assistance admit sans equivoque que la peur tuait plus vite que l'epee.
Et toute l'assistance admit sans equivoque que la peur tuait plus vite que l'epee.
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