Sunday 14 December 2014

MAMBA NOIR ET LE NOURRISSON


La sagesse d’un vieillard est un soleil dans la pensée obscure de la jeunesse.

Dans un village près de LUBAO   vivait un couple qui n’avait qu’un seul  enfant, un nourrisson.

Un jour vers midi, les écoliers et les élèves  sortaient   par  groupe d’affinités comme les chauves souris sortant le soir pour aller se nourrir.

La mère du petit était dans la cuisine pour cuir les aliments, revenant de là, pas moyen d’accéder  à  la natte où restait son enfant, car  le serpent   noir, appelé SUBU A KU BUSONGIE, s’enroulait autour de l’enfant.

Sans  espoir, la jeune dame cria: ‘’Balume baabo, balume  baabo, balume baabo’’, une expression qui signifie en langue songie, n’y a- t-il pas les hommes par ici pour me secourir? Car connaissant la fatalité de la morsure de ce reptile.

Et cultivateurs, et écoliers, et élèves, et voyageurs tous vinrent au secours en suivant le trajectoire du cri ; sur le lieu, une dame  montrant  avec  son  doigt  le serpent  qui  s’enroulait  sur  le corps de son enfant.

Les stratégies  se montèrent   mais sans succès  car la grande question était de récupérer  le nourrisson vivant, faut-il  tuer le serpent, oui  c’est le souhait de tout le monde mais comment le faire sans blesser   le gamin?

Après  trois  heures  de  vains efforts, un octogénaire  donna  une  excellente  idée, et dit:’’ voici beaucoup de temps que nous avons passer  ici sans secourir le malheureux garçon et, dispersez vous et  laissez-le, il  finira par quitter l’enfant  et à ce moment la nous  mettrons la main sur  l’indésirable  serpent.

Devant  ce speech sans précédent  du  vieillard, les jeunes  comprirent  que s’était  la voix des ancêtres  du clan et la volonté divine, ils  s’éloignèrent   sans condition et se cachèrent  dans les environs.

Ils  attendirent  trente  minutes  plus tard et virent  le serpent lécher   la face de l’enfant comme pour lui dire au revoir, et se déroula  petit à petit, et voulut quitter  et  le nourrisson le tira par la queue  comme  pour  lui  dire  ne  part  pas  mon bel ami, et Mamba  revint s’enroula  de nouveau, puis se déroula  et tenta de quitter le tout petit qui ne libera pas sa queue, il  profita  joua avec le petit , qui voulant toucher la tête du dangereux   libera  enfin la queue et  laissa, l’ennemi de la race humaine s’en aller.
Voulant   traverser  la rue, il  fut  accueillit de tous les cotes par les spectateurs   qui attendaient s’en finir avec ses  aventures, il  mourut  malheureux, car n’ayant  ni  frère, ni  sœur, ni parents connus, et les villageois se partagèrent  sa  chaire

Saturday 13 December 2014


La sagesse d’un vieillard est un soleil dans la pensée obscure de la jeunesse.

Dans un village près de LUBAO   vivait un couple qui n’avait qu’un seul  enfant, un nourrisson d'environ dix mois.

Un jour aux environs de midi, les écoliers et les élèves  sortaient   par  groupe d’affinités comme les chauves souris sortant le soir pour aller se nourrir.















La mère du petit était dans la cuisine pour cuir les aliments, revenant de là, pas moyen d’accéder  à  la natte où restait son enfant, car  le serpent   noir, appelé SUBU A KU BUSONGIE, jouait avec de l’enfant.









Sans  espoir, la jeune dame cria: ‘’Balume baabo, balume  baabo, balume baabo’’, une expression qui signifie en langue songie, n’y a- t-il pas les hommes par ici pour me secourir? Car connaissant la fatalité de la morsure de ce reptile.
Et cultivateurs, et écoliers, et élèves, et voyageurs tous vinrent au secours en suivant le trajectoire du cri ; sur le lieu, une dame  montrant  avec  son  doigt  le serpent  qui faisait la camaraderie avec son enfant.
Les stratégies  se montèrent   mais sans succès  car la grande question était de récupérer  le nourrisson vivant, faut-il  tuer le serpent, oui  c’est le souhait de tout le monde mais comment le faire sans blesser   le gamin?








Après  trois  heures  de  vains efforts, un octogénaire  donna  une  excellente  idée, et dit:’’ voici beaucoup de temps que nous avons passer  ici sans secourir le malheureux garçon et, dispersez vous et  laissez-le, il  finira par quitter l’enfant  et à ce moment la nous  mettrons la main sur  l’indésirable  serpent.
Devant  ce speech sans précédent  du  vieillard, les jeunes  comprirent  que s’était  la voix des ancêtres  du clan et la volonté divine, ils  s’éloignèrent   sans condition et se cachèrent  dans les environs.
 
Ils  attendirent  trente  minutes  plus tard et virent  le serpent lécher   la face de l’enfant comme pour lui dire au revoir, et se déroula  petit à petit, et voulut quitter  et  le nourrisson le tira par la queue  comme  pour  lui  dire  ne  part  pas  mon bel ami, et Mamba  revint s’enroula  de nouveau, puis se déroula  et tenta de quitter le tout petit qui ne libera pas sa queue, il  profita  joua avec le petit , qui voulant toucher la tête du dangereux   libera  enfin la queue et  laissa, l’ennemi de la race humaine s’en aller.
Voulant   traverser  la rue, il  fut  accueillit de tous les cotes par les spectateurs   qui attendaient s’en finir avec ses  aventures, il  mourut  malheureux, car n’ayant  ni  frère, ni  sœur, ni parents connus, et les villageois se partagèrent  sa  chaire