Il y avait dans un village un jeune tellememnt gentil, qui
s’appelait Kasongo, marié et père
d’une nombreuse famille.
Un soir pendant
qu’ils étaient autour du feu avec son père,ses
deux jeunes frères et leurs enfants, il senti que sa réspiration étouffait, son corps se fatiguait, et
il commençait
à voir
flou.
Ainsi partit-il dormir, au lieu de se reveiller en bonne santé, une toux
l’accompmagna,a cela s’ajouta le manque d’appetit,l’ammaigrissement, les
transpirations nocturnes, la fièvre tôt le matin, et chaque jour qui
passait le jeune homme devenait de plus
en plus
asthénique.
Soucieux, son jeune frère alerta le chef de
famille qui à
son tour convoqua une reunion de famille
en urgence.
Telles les mouches entourant une viande faisandée, les frères de kasongo
s'assemblerent sous le manguier pour chercher d’où
venait cette malediction qui frappait leur frère .
Ils taillerent la bavette autour de la maladie cherchant le sorcier et leurs
demarches n’acoucherent qu’une souris.
Ils deciderent
d’appeler un guerrisseur qui
tenta avec incantations et potions pendant une semaine, c’etait comme
s’il versait de l’eau sur le dos du canard, la maladie ne senti pas
sa présence.
Le second arriva, il tenta par des chansons, potions et
incatations la maladie ne lui obeit pas,ils se succederent jusqu’au
dixieme, qui dansa, sauta , cria et appella mȇme
ses ancȇtres, la maladie n’obeit pas non plus.
Et lorsque Kasongo
qui parlait, qui riait, qui bougeait ne resta vivant que par la montée
et descente de son ventre, la famille decida de l’amener chez le médecin.
Pas d’ambulance, pas de moto, pas aussi un velo, juste au
coin de la chambre de Kasongo reposait un filet de chasse sale,
les frères du patient le mirent dedans et commencerent une longue marche qui dura quatre heure.
Arrivée à l’hopital de Kipushya, le docteur ecouta un bruit
semblable au mugissement et
sortant de son bureau, il apercu un patient qui n’avait que la chaire aux os, il demanda à ceux qui le transportaient de l’amener
en sale d’urgences, arrivée là, le mourant ne donna peu de chance qu’au
laboratin et radiologue de prendre chacun en ce qui le concerne les
echantillons.
Trente minutes plus
tard il dit ses
derniers mots à
son fils ainé
et, pendant qu’il lui parlait ses sept soeurs chercherent de pagnes et se
couvrirent pensant que le soufle de vie
devait ȇtre
arreté
par leur barrière, a leur ainsi le soufle parti et Kasongo se coucha avec ses Aieux.
Les frères de l’illustre disparu ramenèrent le corps jusqu’au village ,firent deuil sur lui, et remirent la terre à la terre.
Après toutes les
ceremonies de deuil, le chef de famille
parti chercher le certificat de
decès,
c’est alors que le docteur de l’hopital général de kipushya lui dit que son frère etait décedé
de la tuberculose, une maladie
guerrissable par les molécules
qu’on donne gratuitement.