La sagesse d’un vieillard est un
soleil dans la pensée obscure de la jeunesse.
Dans un village près de LUBAO vivait un couple qui n’avait qu’un seul enfant, un nourrisson.
Un jour vers midi, les écoliers et les élèves sortaient
par groupe d’affinités comme les chauves souris sortant
le soir pour aller se nourrir.
La mère du petit était dans la
cuisine pour cuir les aliments, revenant de là, pas moyen d’accéder à la
natte où restait son enfant, car le
serpent noir, appelé SUBU A KU BUSONGIE, s’enroulait
autour de l’enfant.
Sans espoir, la jeune dame cria: ‘’Balume baabo,
balume baabo, balume baabo’’, une
expression qui signifie en langue songie, n’y a- t-il pas les hommes par ici
pour me secourir? Car connaissant la fatalité de la morsure de ce reptile.
Et cultivateurs, et écoliers, et élèves,
et voyageurs tous vinrent au secours en suivant le trajectoire du cri ;
sur le lieu, une dame montrant avec son doigt le serpent qui s’enroulait
sur le corps de son enfant.
Les stratégies se montèrent
mais sans succès car la grande
question était de récupérer le
nourrisson vivant, faut-il tuer le
serpent, oui c’est le souhait de tout le
monde mais comment le faire sans blesser
le gamin?
Après trois heures de vains
efforts, un octogénaire donna une excellente
idée, et dit:’’ voici beaucoup de temps
que nous avons passer ici sans secourir
le malheureux garçon et, dispersez vous et laissez-le, il
finira par quitter l’enfant et à
ce moment la nous mettrons la main sur l’indésirable serpent.
Devant ce speech sans précédent du vieillard, les jeunes comprirent
que s’était la voix des ancêtres du clan et la volonté divine, ils s’éloignèrent sans condition et se cachèrent dans les environs.
Ils
attendirent trente minutes plus tard et virent le serpent lécher la
face de l’enfant comme pour lui dire au revoir, et se déroula petit à petit, et voulut quitter et le
nourrisson le tira par la queue comme pour lui
dire ne part
pas mon bel ami, et Mamba revint s’enroula de nouveau, puis se déroula et tenta de quitter le tout petit qui ne
libera pas sa queue, il profita joua avec le petit , qui voulant toucher la tête
du dangereux libera enfin la queue et laissa, l’ennemi de la race humaine s’en aller.
Voulant traverser la rue, il
fut accueillit de tous les cotes
par les spectateurs qui attendaient s’en finir avec ses aventures, il
mourut malheureux, car n’ayant ni
frère, ni sœur, ni parents
connus, et les villageois se partagèrent
sa chaire
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